Ambiance très très sombre dans la halle Alstom ce soir-là. Pas grand monde dans cet espace immense à part quelques photographes armés de leurs trépieds photo (accessoire indispensable pour faire de la photo de nuit), et pour certains d’une lampe frontale… on n’imagine pas l’équipement qu’il faut pour ramener de belles images, c’est parfois digne d’un équipement pour rando en montagne en plein hiver. Je vous en reparlerais une autre fois de la tenue idéale du photographe…
Bref !
Tout ça pour vous dire que ce soir-là, les seules lumières qui nous éclairaient étaient celles des sorties de secours. Et en regardant les petites bonhommes courant vers la sortie lumineuse, je n’étais pas loin de faire la même chose… Les coins et recoins sombres de cette halle immense regorgent de trous dans le sol, d’ascenseur à l’abandon, d’étages aux sols étrangement souples sous le pieds, de salles dont les portes sont d’une épaisseur telles qu’on s’attend à trouver un réacteur nucléaire derrière…
Conclusion : j’ai suivi la lumière d’un vélo…